« Une des principales raisons qui m’a fait rejoindre Avenir Conseil, c’est la proximité managériale. «
Témoignage de Mathieu Chardon, Product Owner
Mathieu CHARDON est Product Owner, en mission chez Renault dans le cadre du déploiement d’un outil de PLM.
Aujourd’hui, il revient sur la manière dont parfois, même dans le milieu professionnel, il faut savoir faire le grand saut.
Pourquoi avoir choisi Avenir Conseil ?
Une des principales raisons qui m’a fait rejoindre Avenir Conseil, c’est la proximité managériale. Savoir que mon Manager, donc la personne qui va faire mes bilans annuels, juger mon travail, est un collègue qui fait le même travail que moi, a beaucoup compté dans mon choix.
Quel est ton poste ?
Je suis aujourd’hui Product Owner sur un projet de déploiement d’un outil PLM chez Renault qui est basé sur la 3DExperience de Dassault Systèmes.
Le périmètre d’activité de ce poste est très large. Il va de la prise de besoin où l’on échange beaucoup avec les Métiers pour savoir comment ils travaillent, quelles sont leurs contraintes, jusqu’à la communication des nouvelles fonctionnalités à ces mêmes Métiers.
Quel est ton parcours ?
Après un diplôme d’ingénieur à l’ESTIA en conception de produits et un Master of Science à l’Université de Wolverhampton, j’ai été embauché par ALTEN.
Pour ma première mission, j’étais à la Direction du design, déjà chez Renault, et je traitais des échanges entre le Design et l’Ingénierie.
Puis j’ai enchaîné avec une mission chez CLASS Tractor, où j’étais en charge d’une équipe de concepteurs d’une cabine de tracteur agricole.
Suite à cette mission, j’ai été contacté par Avenir Conseil pour une mission de déploiement du PLM chez Renault.
Une anecdote à nous raconter ?
Je vais vous parler du Teambuilding où nous avons fait de l’accrobranche. Pour quelqu’un qui a le vertige à 1 mètre du sol, ça n’a pas été simple. Le plus dur, ça a été de sauter à une dizaine de mètre du sol avec un élastique.
Après avoir fait 2-3 demi-tours en me disant que je n’y arriverais pas, j’ai fini par m’asseoir sur le rebord (comme si descendre d’un mètre, ça allait changer quelque chose). Et finalement, j’ai sauté. Arrivé en bas, j’étais super content !